Il y a 2 ans naissait Deathwalker, un album aussi solide sur la forme que pertinent sur le fond, mené d’une main de maître par 7 Rouennais pour qui l’héritage de Mr Gemmell vaut plus que des rééditions incessantes, toutes aussi belles qu’inutiles, de ses œuvres les plus cultes. De ses premiers pas au fin fond d’un sous-sol aussi étroit qu’étouffant d’un bar de Rouen au Hornerfest en Allemagne aux côtés de Finntroll et Skyforger, sans oublier un passage remarquable au Cernunnos Fest, on peut dire que Deathwalker a grandi ! Et pour reprendre un concept fort « Gemmellien » on peut même dire qu’il a vieilli et qu’arrivera un moment où, rempli de sagesse et fort de son impact sur le monde, il laissera sa place dans la lice à un combattant plus vigoureux. C’est ainsi que naît Nadirs. Continuer la lecture de Drenaï – Nadirs
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Trollwald – U Huszczarach [EN]
Released on the 12th of March, the very first EP of Trollwald, “U Huszczarach”, was quite difficult to grasp at the start. But this piece of an interview of Andrey Gorchacov (keyboards) clears up many things regarding the form of the new project of the ex-Litvintroll. Continuer la lecture de Trollwald – U Huszczarach [EN]
Hypocras – Implosive
Trois ans après un premier album extrêmement prometteur, nos petits Suisses préférés d’Hypocras sont de retour avec un tout nouvel EP intitulé Implosive ! On retrouve sur l’artwork l’animal que le groupe semble avoir adopté en tant qu’emblème, à savoir le sanglier, pour un effet « hyper bestial », si l’on reprend leurs termes. Ladite pochette a été réalisée par Diego, guitariste de Burning Flesh, groupe genevois de death metal. Continuer la lecture de Hypocras – Implosive
Dzivia – Dream Reaper [EN]
While waiting for Dzivia’s next album, here’s a review of the first one to get in the swing of things. Continuer la lecture de Dzivia – Dream Reaper [EN]
Dzivia – Dream Reaper [FR]
En attendant le prochain album de Dzivia, voici une chronique du premier album pour se mettre dans le bain.
Ce qui est frappant dès les premières compositions, c’est qu’on sait déjà qu’on a affaire à une production de qualité et à un ensemble très fluide. On passe d’un registre à l’autre aisément et les morceaux suivent une évolution naturelle.
De la mélancolie timide et contemplative de « Serca Puscy (Heart of the Forest) » à l’enchanteresse « Vilija » en passant par l’épique « Abudžeńnie Cmoka (Dragon’s Awakening) », tout sonne à la fois unifié et aussi diversifié grâce à des mélodies et à des instruments qui sortent du lot et deviennent le cœur des compositions. Sans être dans quelque chose de forcément entraînant ou répétitif, certains airs marquent et viennent s’ancrer dans notre esprit comme le violon sur «Zbroja dy połymia (Fire and Swords) » et c’est désormais à ceci que je pense pour en quelque sorte définir Dzivia.
Ce qui pourrait plus spécifiquement définir la signature d’Artur Matveenko, c’est la maîtrise et la mesure, que cela soit pour le choix des instruments que pour l’évolution et la gestion des registres. Et ce à un tel point que lorsque l’on croit s’envoler pour un nouvel air épique et très chargé, on rétrograde en fait pour quelque chose de beaucoup plus minimaliste qui fait toute la finesse et la délicatesse du morceau. Cela arrive à plusieurs reprises sur l’album et on se fait toujours surprendre dès les premières écoutes mais au final, ces petits « croche-pattes » deviennent les moments préférés.
En somme, quel que soit le registre ou le ton employé, on n’est jamais dans quelque chose de pompeux ou de tape-à-l’œil. Tout reflète d’une certaine manière une attitude particulière du compositeur par rapport à sa propre musique : de la sincérité de toute évidence, mais aussi une humilité assez surprenante vu la qualité et toute la richesse des compositions. Je me rends compte que c’est quelque chose qui semble être assez commun chez une partie des autres musiciens du Belarus. Et finalement, cette bonté et cette honnêteté ne formeraient-elles pas un frein à l’ambition ? Pas pour tout le monde, espérons-le. Fort heureusement, cela ne semble pas être le cas pour Dzivia.
Pour ceux qui auraient manqué la nouvelle, voici la chanson extraite du prochain album, « Vataha »:
Le premier album ainsi que ce single sont disponible en vente digitale sur Bandcamp ici et vous pouvez retrouver Dzivia sur Facebook, Soundcloud et VK.
Vous pouvez également suivre les autres travaux d’Artur Matveenko ici.
Mäntymetsä.
Tracklist:
- Serca Puščy (Heart of the Forest)
- Zbroja dy połymia (Fire and Sword)
- Skarby Aniolaŭ (Treasure of the Angels)
- Kaladnaje Koła (Old Belarusian song)
- Pahonia Pryvidnych Vieršnikaŭ (Ghosly Chase)
- Šeście Pamierłych (Dead Procession)
- Abudžeńnie Cmoka (Dragon’s Awakening)
- Vilija
- Stračanyja Padańni (the Lost Tales)
7.5/10
In Extremo – Quid Pro Quo
Bonjour à tous chers lecteurs de Valkyries Webzine. Je me présente, Cide, et j’ai le plaisir de vous annoncer mon arrivée au sein des Valkyries en tant que chroniqueur. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire mes chroniques que j’en aurai à les rédiger. Je vous souhaite donc une bonne lecture pour ma première chronique de l’album « Quid Pro Quo » du groupe In Extremo.
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Fable – To the glory unknown
Fable, a new australian band just released its very first album on june 2016 : To the glory unknown. The album cover is a picture of an australian landscape with an embedded Kolovrat (nordic symbol). This give to us some information concerning the musical style of the band.
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Fable – To The Glory Unknown
Fable, ce groupe venu de loin, d’Australie pour tout vous dire, a sorti son premier album en juin 2016 : « To the glory unknown ». La pochette de l’album, une photo d’un paysage australien incrustée du symbole nordique Kolovrat, donne un indice sur le style musical.
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Omnia – Prayer
Omnia a sorti un nouvel album cet été en toute discrétion, fait étrange lorsque l’on est habitué à un Steve (tête pensante du désormais célèbre combo néerlandais) bloguant a tout va sur la nature, sa femme et le capitalisme n’omettant jamais de rappeler à quel point ils se sont émancipés du système. Et j’insiste sur le « en toute discrétion » car pour le coup c’est l’extrême opposé de la com faite pour l’avant dernier album, Earth Warrior ! Si pour Prayer on a eu le droit à deux / trois annonces style « nouvel album en chantier ! » « Omnia en studio ! » et une sortie avancée de quelques jours avec un simple poste facebook, pour l’autre c’était plus du matraquage à coup de trailer, d’explications de chansons, et de compte à rebours. (Je mets volontairement de côté le Naked Harp sortit fin 2015, c’est un projet un peu a part) Mais pourquoi ce subit changement ? Continuer la lecture de Omnia – Prayer
ZNICH – SLOVA ZIAMLI [EN]
Formed in 1996, Znich is one of the pillars of the Belarussian Metal scene and was announced for the next edition of the Ragnard Rock Festival. They released and EP in June, Slova Ziamli. Continuer la lecture de ZNICH – SLOVA ZIAMLI [EN]