Avant de commencer, je tiens à remercier particulièrement l’association Head Bang de m’avoir invité à ce concert assez particulier, mais ô combien attendu ! En espérant que ça se reproduise dans les prochains temps…
Nous voici de nouveau sur les lieux
pour cette deuxième et dernière journée de festival. Et la
malédiction des annulations frappe encore, puisque XIV Dark
Centuries a également été contraint d’annuler son concert car
le guitariste était malade. Malgré cette nouvelle déception, le
Ragnarök s’est montré
réactif en invitant Gernotshagen comme groupe remplaçant. On
apprendra également que Skeletonwitch pourra finalement se
produire ce soir.
Et c’est reparti pour un tour ! Pour la quatrième année consécutive, je me suis rendue au Ragnarök Festival pour sa seizième édition. Une fois de plus, mon festival de cœur a vu les choses en grand, bien des groupes à l’affiche valaient le déplacement. Cette fois-ci, je me suis rendue à Lichtenfels (ville qui abrite le festival) en voiture, accompagnée de deux amies également habituées des lieux. Ayant pas mal de route à faire, nous sommes parties le jeudi en début d’après-midi, pour finalement arriver vers 22h. Comme l’an dernier, nous nous sommes installées au « Sleeping Hall », afin de profiter de la chaleur, des douches et toilettes gratuites, et du calme. Enfin calme, ça c’était pour l’année dernière, mais cette fois-ci, ce fut plus laborieux pour trouver le sommeil, d’autant plus que mon matelas gonflable a eu la bonne idée de rendre l’âme la première nuit. Pour ce qui était de la chaleur, là aussi elle laissait à désirer, dans la mesure où les fenêtres étaient restées ouvertes juste au-dessus de nos têtes. Fort heureusement, je ne suis pas tombée malade, mais je sais que ce ne fut pas le cas de tout le monde. Quant aux douches, il valait mieux ne pas être pudique, puisqu’il n’y avait aucune cloison de séparation entre chacune d’elles. Bref, cette première nuit fut un peu celle de la désillusion, si je suis amenée à revenir l’an prochain, ce sera peut-être l’hôtel pour une fois !
Ce vendredi 12 avril 2019 fut une
première pour moi en bien des points. Tout d’abord, c’était la
première fois que j’assistais à un concert à l’Élysée
Montmartre, salle située à quelques pas du Sacré-cœur. Après
avoir récupéré mon invitation, mon cher et tendre et moi-même
montons quelques marches, avant de pénétrer dans une salle dont la
capacité d’accueil maximale est légèrement plus petite que celle
du Bataclan, soit environ 1380 personnes. Outre la capacité
d’accueil quasiment similaire, ce qui me fait aussi penser à la
salle du XIème arrondissement, c’est qu’un plancher recouvre celle
de l’Élysée Montmartre.
Nous nous retrouvons au Supersonic en
ce mercredi 10 avril 2019 pour une nouvelle date placée sous le
signe du Post-Rock, en partenariat avec le festival Post In Paris
(dont la prochaine édition se tiendra au Petit Bain le 26 mai
prochain). Au programme, TRNA et Show Me A Dinosaur,
deux formations russes signées chez le label Elusive Sound,
soutenues par le groupe local SaaR.
J’arrive sur les lieux une heure avant
le début présumé du concert, dans le seul et unique but de
dévaliser le merch’ de TRNA et de Show Me A Dinosaur.
Mais à ma grande déception, aucun des deux groupes ne proposait de
vinyles à la vente. Les strickers gratuits auront été une maigre
consolation, mais au moins, cela fera un souvenir. J’attends donc
patiemment ma collègue Herja, et Thibaud, mon meilleur allié des
concerts de Post-Rock.
Croyez-le ou non, depuis presque deux ans que je suis à Paris je n’avais pas encore eu l’occasion de mettre les pieds au Glazart. C’est donc avec un peu d’appréhension (et aussi avec Xartyna) que je me dirige vers cette salle réputée pour son mauvais son – bien que mon autre collègue Varulven soit également là pour m’affirmer le contraire. Pas question en tout cas de rater l’affiche de ce soir, dédiée à trois groupes du label allemand Ván Records, qui aime nous proposer depuis plus de 10 ans des groupes à la démarche souvant innovante et plongée dans l’occultisme. Les deux premiers groupes semblent avoir été inversés entre l’annonce initiale et le running order : c’est donc Chapel Of Disease qui ouvre la soirée, suivi de Wolvennest et enfin The Ruins Of Beverast.
En cette première journée du mois d’avril, les Suédois d’Evergrey étaient de passage dans la capitale dans le cadre du The Atlantic Europe, tournée censée promouvoir leur nouvel album The Atlantic, paru le 25 janvier dernier chez AFM records.
Etant un grand fan du groupe, il était bien évidemment hors de question pour moi de faire l’impasse sur cette date, d’autant plus que le concert de l’an dernier à la Boule Noire avait été d’une maîtrise et d’une qualité assez exceptionnelle. C’est donc d’un pas enjoué que je me dirigeais tranquillement vers le Gibus, en cette belle fin de journée ensoleillée.
Arrivé environ une heure avant l’ouverture des portes, la foule arrivait progressivement devant la petite salle du faubourg du Temple et une fois n’est pas coutume, c’est sur les coups de 18h50 que les portes s’ouvrirent afin de nous laisser rentrer, ce qui, il faut le dire, n’est pas commun, surtout à Paris !
Pour la première fois, je me suis
rendue au Forum de Vauréal, petite commune du Val d’Oise. Pourtant,
la salle ne se trouve qu’à un quart d’heure de chez moi en voiture,
mais le problème est là, je ne suis pas véhiculée, et y aller (et
surtout rentrer) par les transports en commun n’est pas chose aisée.
Je n’avais encore jamais trouvé un groupe qui me motiverait à
braver cet handicap … jusqu’à ce jour du 3 avril 2019. Ce groupe,
c’est Crippled Black Phoenix, groupe de rock progressif
britannique. Je connaissais CBP depuis quelques années déjà,
mais plus de nom qu’autre chose, grâce à mon ex. Mais ce n’est
seulement que l’année dernière que je me suis mise véritablement à
écouter le groupe, avec son dernier album, Great Escape, qui
avait été ni plus ni moins un de mes albums préférés de 2018.
Vous avez déjà
pu le remarquer avec le concert de Dance With the Dead le mois
dernier, en ce moment, une petite envie me prend de sortir des
sentiers battus et d’assister à des concerts de styles que
j’apprécie, sans pour autant en écouter énormément. Lorsque mon
frère (féru de musiques expérimentales et psychédéliques en tout
genre) et moi-même avons vu que Samsara Blues Experiment
passait par Paris le 1er avril à l’occasion d’une tournée
européenne, nous nous sommes empressés de nous procurer le précieux
sésame qui nous garantirait l’accès au concert. J’avais déjà vu
la formation allemande lors de son passage au Hellfest en 2015, mais
mes souvenirs étant assez flous, une petite piqûre de rappel ne
pouvait pas faire de mal !