Et c’est reparti pour un tour ! Avril est une période sacrée pour moi, celle de mon pèlerinage annuel au Ragnarök Festival. Pour cette dix-huitième édition, je retrouve à l’affiche beaucoup de groupes que j’apprécie énormément, notamment Wormwood, que je n’avais encore jamais vu. Ce fut ma motivation première pour faire le déplacement. La grande nouveauté de cette année, c’est que le festival commençait le jeudi soir (au lieu du vendredi), avec trois concerts + une afterparty sous l’appellation « Mosher’s Night ».
Et c’est reparti pour un tour ! Pour la quatrième année consécutive, je me suis rendue au Ragnarök Festival pour sa seizième édition. Une fois de plus, mon festival de cœur a vu les choses en grand, bien des groupes à l’affiche valaient le déplacement. Cette fois-ci, je me suis rendue à Lichtenfels (ville qui abrite le festival) en voiture, accompagnée de deux amies également habituées des lieux. Ayant pas mal de route à faire, nous sommes parties le jeudi en début d’après-midi, pour finalement arriver vers 22h. Comme l’an dernier, nous nous sommes installées au « Sleeping Hall », afin de profiter de la chaleur, des douches et toilettes gratuites, et du calme. Enfin calme, ça c’était pour l’année dernière, mais cette fois-ci, ce fut plus laborieux pour trouver le sommeil, d’autant plus que mon matelas gonflable a eu la bonne idée de rendre l’âme la première nuit. Pour ce qui était de la chaleur, là aussi elle laissait à désirer, dans la mesure où les fenêtres étaient restées ouvertes juste au-dessus de nos têtes. Fort heureusement, je ne suis pas tombée malade, mais je sais que ce ne fut pas le cas de tout le monde. Quant aux douches, il valait mieux ne pas être pudique, puisqu’il n’y avait aucune cloison de séparation entre chacune d’elles. Bref, cette première nuit fut un peu celle de la désillusion, si je suis amenée à revenir l’an prochain, ce sera peut-être l’hôtel pour une fois !
L’année 2019 commence on ne peut mieux
pour ma part : il y a trois mois, mes chouchous de Sojourner
annonçaient leur toute première tournée européenne « The
Sovereign Arsonists Tour MMXIX », aux côtés de deux autres
groupes que j’apprécie aussi énormément, à savoir Harakiri for
the Sky et Draconian. Aucune logique dans la programmation
de cette tournée vous dîtes ? Certes, les trois groupes n’ont
pas grand-chose en commun musicalement parlant, mais au diable les
étiquettes, du moment qu’on les aime ! Et quelle ne fut pas ma
joie lorsque je vis qu’une date à Paris, organisée par notre cher
Garmonbozia, était prévue !
La fin de l’hiver approche doucement, et pour réchauffer les cœurs (ou pas …), l’association Garmonbozia a réuni Dool et Harakiri for the Sky en co-headlining à l’occasion de l’Elate | Elevate European Tour. Les deux groupes étaient de passage dans la capitale, plus précisément au O’Sullivans Backstage by the Mill, le mardi 6 mars 2018. Continuer la lecture de Dool / Harakiri for the Sky→
Ce lundi 16 octobre 2017, une petite centaine de metalleux se donnait rendez-vous dans le centre de Paris, dans la petite salle du Klub, pour une soirée post-rock/post-black. Pour la première fois en tête d’affiche en France, les Autrichiens d’Harakiri for the Sky venaient promouvoir leur troisième album III : Trauma, petite pépite sortie l’an dernier. Ils sont accompagnés sur leur tournée par les Italiens de Shores of Null et les Franco-Norvégiens de Sylvaine. Continuer la lecture de Harakiri for the Sky / Sylvaine / Shores of Null→
Pour le week-end du 22 avril 2017, deux choix de festivals s’offraient à moi : d’un côté le festival médiéval De Chair et d’Acier à Mâcon, de l’autre, le Ragnarök festival à Lichtenfels en Allemagne. Pour ma part, c’était tout vu dès lors que les premiers groupes du Ragnarök avaient été annoncés. Au diable les huit-cents kilomètres qui me séparaient de la petite commune bavaroise, je réserve au plus vite mes billets de bus et de train.
Je pars donc de ma petite ville de région parisienne le jeudi soir, direction Porte Maillot, pour me rendre en bus jusqu’à Nuremberg. J’y arrive le lendemain en début de matinée. Plus qu’une heure de train, et c’est aux alentours de midi que j’arrive à destination. Je retrouve immédiatement des amies sur place. Une petite bière pour se donner du courage, puis je me rends à l’entrée du festival pour récupérer mon pass VIP (#minutemodestie), avant de monter le campement.