Top Décennie Chroniqueurs – 2010-2019

Cette fois-ci, le top portera sur les albums qui ont le plus marqué nos chroniqueurs lors de cette dernière décennie, avec en prime leurs commentaires et appréciations concernant ces albums !

Varulven

Atlantean Kodex – The White Goddess (2013) : Depuis la découverte de Bathory et de son Hammerheart, je n’avais plus ressenti un tel sentiment de grandeur, de majesté et de classe se dégageant d’un album. Entre mid tempos lourds et planants, riffs couillus et guerriers, mélodies épiques et une voix emplie d’émotion et de grâce, les Allemands nous montrent qu’ils sont LA définition de l’épopée et de la magnificence musicale.
 
Saor – Guardians (2016) : Entre BM atmo et musique celtique, Andy Marshall nous dépeint les plus beaux paysages des Highlands d’Ecosse, sur fond de mélancolie, de nostalgie et d’émotion. Une oeuvre grandiose et belle à en pleurer.
 
Bell Witch – Mirror Reaper (2017) : Je vois déjà certains de mes amis sourirent, mais ce Mirror Reaper fut une véritable révélation, un monolithe de lourdeur, de mélancolie et de contemplation. Tantôt abyssale, sombre, planante, calme ou désespérée, on passe par diverses émotions au cours de ce voyage sur une étendue océanique inconnue et mystérieuse. Une immersion absolue et totale !
 
Himinbjorg – Wyrd (2015) : Un véritable chant de l’âme, où fierté, tradition, colère et paix intérieure fusionnent pour ne faire qu’un, avec la terre et l’univers.
 
Mgla – Exercises in Futility (2015) : Une découverte faite au bon moment, quand le BM actuel commençait à manquer de fraîcheur. Ce groupe est la preuve que l’on peut proposer quelque chose de neuf et de frais tout en étant fidèle aux classiques du genre. Riffs froids, mélodies hypnotiques, atmosphère misanthrope et nihiliste: Tout y est !
 
Forteresse – Thèmes pour La Rébellion (2016) : L’un des fers de lance du Metal Noir Québécois nous balance dans la gueule ce manifeste de BM mélodique, où paroles vindicatives, violence, envolées épiques et mélodies conquérantes se mêlent parfaitement pour nous conter le combat des patriotes du XVIIIe siècle.
 
Véhémence – Par le Sang Versé (2019) : Rarement j’ai écouté un album de BM aussi éclectique et bien composé que celui-là. Une merveille du BM mélodique et épique, enrichit par des influences de musique médiévale, de Heavy Metal et de Néo Folk. Du très grand art !
 
Aorlhac – L’ Esprit des Vents (2018) : Pour rester dans les joyaux du BM médiéval français, ce troisième opus des Occitans est celui du toujours plus. Meilleur batteur, meilleures compos, mélodies, chanteur, production, tout est poussé toujours plus loin en terme de qualité, ce qui fait de cette offrande le must have d’Aorlhac.
 
Bran Barr – Sidh (2010) : L’un des meilleurs albums de Folk Metal de tous les temps, assurément. Loin des histoires de trolls attardés et des chansons à boire de beauf (coucou Korpi !), Bran Barr nous dévoile sur fond de musique celtique enjouée et chaleureuse et de riffs Heavy/Thrash et BM un concept album abouti et sincère qui raconte une histoire basée sur le mythe irlandais de Cuchulainn. Un groupe trop peu reconnu à sa juste valeur.
 
Nydvind – Sworn To The Elders (2010) : Je n’arrête pas de vous gaver avec Nydvind, et je continuerai de vous gaver avec Nydvind, tant ce groupe est injustement méconnu par rapport à son talent. Le projet de certains ex membres de Bran Barr nous offrent ici un Pagan Black entre l’agressivité et le côté froid de Kampfar et le côté épique et poignant de Primordial.
 
Enslaved – RiitiiR (2012) : Bien qu’il n’ait plus la même portée sur moi aujourd’hui, Enslaved est un des groupes qui m’a le plus marqué et touché, et cela à jamais. L’exemple même d’un groupe évoluant sans cesse tout en restant fidèle à ses racines BM. RiitiR est l’un des exemples démontrant la perfection d’Enslaved, avec ces ambiances planantes, progressives et psychédéliques, magnifiées par une voix claire et des refrains de toute beauté. Un très grand album pour un très grand groupe.
 
Alcest – Les Voyages de l’âme (2012) : Beaucoup choisiront Écailles de Lune, mais c’est pour ma part avec cet album que je suis tombé amoureux de l’univers décrit par Neige, un havre de paix et de tranquillité, formé de vastes étendues verdoyantes caressées par la lumière du soleil et par une douce brise d’été. Un album possédant un réel effet thérapeutique, idéal pour la relaxation.
 
Summoning – Old Morning Dawn (2013) : L’apogée du duo Silenius et Protector. Toujours ces ambiances médiévales, épiques, avec un aspect encore plus grandiose et prenant que d’ordinaire, qui nous fait voyager au plus profond des contrées de la Terre du Milieu.
 
Evergrey – Hymns For The Broken (2014) : Ces mélodies, ce groove, ces refrains et surtout… ce chanteur ! Cette voix, et quelle voix, tellement touchante, emplie de spleen, de fragilité, de… (ok ok, je m’arrête là ! )
 
Katatonia – Dead End Kings (2012) : C’est lors d’une période assez sombre de ma vie que j’ai commencé à écouter des groupes comme Swallow The Sun, Paradise Lost et Katatonia, dont l’album Dead End Kings synthétise le mieux ce qui définit l’essence du combo à mes yeux : une musique sombre, sans espoir à l’horizon, oscillant entre lourdeur et légèreté et portée par un Jonas Renkse toujours aussi désespéré et poignant dans sa manière de chanter. La musique de DEK nous accompagne telle une berceuse visant à nous emmener définitivement au cœur de la mélancolie du monde. Et de nous y noyer, à jamais.
 
Paradise Lost – Tragic Idol (2012) : J’aurai tout aussi bien pu mettre The Plague Within, mais Tragic Idol possède tout ce qui fait le charme des Anglais : un Doom Gothique lourd, sombre, bourré de mélodies lancinantes et tristes, porté par un Nick Holmes émouvant et versatile au possible. Katatonia m’a montré le vide, mais c’est Paradise Lost qui m’a fait creuser, encore et encore, jusqu’à toucher le fond (quoi que Triptykon peut aussi prétendre au titre…)
 
Triptykon – Melana Chasmata (2014) : “Only death is real”. Cette phrase résume à elle seule l’aura de la musique de Tom G Warrior. Une aura lourde, sombre et rampante qui nous enfonce dans notre dégoût et notre mal-être. A écouter sans modération lors des soirs de déprime.
 
Asphyx – Deathhammer (2012) : La violence, Martin Van Drunen et la violence. Surtout la violence !
 
Anathema – Distant Satellites (2014) : J’aurai pu choisir Weather Systems, mais Distant Satellites marque ma découverte d’Anathema et mon entrée dans le monde du Rock Atmosphérique et Progressif. De grandes nappes atmosphériques, des envolées puissantes allant crescendo jusqu’à finir en apothéose, ainsi que les voix sublimes de Lee Douglas et Vincent Cavanagh, tout dans cet album me ramène à des sensations de flottement inexpliquées. J’ai pleuré des centaines de fois en l’écoutant, et je continuerai à pleurer en l’écoutant encore et encore.
 
Wardruna – Runaljod : Yggdrasil (2013) : Plus qu’un groupe de musique, Wardruna est une véritable expérience mystique et sensorielle, où tout notre être est censé ne faire qu’un avec la Nature et où nos sens se perdent au cœur de la spiritualité des Anciens, là où l’Homme et l’Univers sont censés former un tout.

Thårinkü

Havukruunu – Kelle Surut Soi (2017) : Album que je prends plaisir à écouter encore et encore, un riffing parfait, des compos bien ficelées, des morceaux catchy. Du black pagan de très haute volée, et un groupe encore jeune, mais super prometteur.

Véhémence – Par le Sang Versé (2019) : La grosse surprise de cette année, l’ambiance est très travaillée, les structures des morceaux sont inattendues, les plans de batterie sont monstrueux. Chaque morceau séparé a son charme , mais le tout est une pièce maîtresse, le black metal médiéval à son apogée. Lien vers la chronique.

Cân Bardd – The Last Rain (2019) : Un groupe tout jeune (dans tous les sens du terme), et pourtant ultra talentueux. Ce deuxième opus est une perfection du début à la fin, on voyage loin, transportés par l’atmosphère onirique et apaisante qui s’en dégage. Le groupe de black atmosphérique, à suivre absolument.

Moonsorrow – Jumalten Aika (2016) : Nous y voilà, il fallait bien qu’il y ait un album de mon groupe préféré dans ce top. Pour moi pas leur meilleur certes, mais un album qui reste ultra efficace et prenant. Ils ont quelque chose qu’on ne retrouve nulle part ailleurs, une authenticité hypnotisante. Ce sont pour moi les maîtres du folk black pagan.

Wintersun – The Forest Seasons (2017) : Concept album sur le thème des saisons comme vous l’avez peut-être compris. Une chanson, une saison, chacune ayant un caractère bien spécifique et reconnaissable. Le tout porté par des compos épiques à souhait aux structures variées, du grand Jari Mäenpää. Lien vers la chronique.

Nokturnal Mortum – Verity (2017) : Ah l’Ukraine, une des plus grandes sources du black pagan de qualité. C’est bien sûr le cas avec le dernier opus de Nokturnal Mortum, qui est ultra travaillé, des chansons originales comme on n’en entend pas ailleurs, des ambiances chamaniques, c’est génial. Lien vers la chronique.

Kampfar – Ofidians Manifest (2019) : Quel bijou cet album ! Les ambiances sont super malsaines, les talents vocaux de Dolk m’épatent en permanence, c’est bougrement bien foutu. Kampfar, un groupe qui ne déçoit jamais. Lien vers la chronique.

Kroda – GinnungaGap GinnungaGaldr GinnungaKaos (2015) : Kroda fait partie des groupes les plus constants dans la qualité et cet album est pour moi l’apogée à ce niveau-là. Il y a peut-être moins de morceaux qui ressortent que dans d’autres, mais l’album est tellement fluide et sans raté, chaque morceau est qualitatif et rempli d’émotions.

Agalloch – The Serpent and the Sphere (2014) : Toute dernière pièce des Américains avant le split, un album qui confirme la qualité indéniable du groupe. C’est de toute beauté, que l’on écoute dans un fauteuil au coin du feu ou bien au milieu des montagnes et forêts. L’alternance entre les passages calmes et ceux plus pêchus rend l’ensemble très aérien et agréable, on n’a pas le temps de s’ennuyer, on est simplement subjugué par cette magnificence.

Finntroll – Nifelvind (2010) : Pour moi deux albums ressortent particulièrement de la discographie des Finlandais, Nifelvind en fait partie. Un habile mélange de folk metal festif et de black hargneux, ça donne des morceaux ultra catchy et bulletproof pour l’épreuve du live.

Enisum – Moth’s Illusion (2019) : Enisum fournissent un black atmo qui ne déçoit jamais, cet album le confirme. Tout le long une certaine noirceur doublée d’une beauté indéniable s’en dégage. Pour ce top 20 je me suis engagé à ne mettre qu’un album par groupe, mais sachez que leur opus Arpitanian Lands se place aussi très haut dans mon estime. Lien vers la chronique.

Insomnium – Shadows of the Dying Sun (2014) : Le death mélodique étant un des styles par lesquels j’ai commencé en écoutant du metal, c’était obligé qu’au moins un album se retrouve ici. Les Finlandais couplent ce genre avec un petit côté doom, ce qui donne des morceaux à la fois accrocheurs et très organiques, qui nous prennent aux tripes, et c’est dans cet album que je me retrouve le plus.

Heimsgard – Following the Starlight (2018) : Pondre un album d’une telle grandeur et epicness est un bel exploit, le composer seul relève du génie. Des chansons efficaces, bien foutues, parfois accompagnées par une belle voix féminine, un vrai bonheur à écouter, je suis curieux de voir ce que monsieur Raido va nous pondre par la suite.

Arkona – Khram (2018) : Très peu fan du reste de la discographie du groupe, beaucoup trop folk pour moi… mais cet album bon sang, quelle claque ! Il est bien plus sombre, aux portes du black metal parfois, des ambiances travaillées, des morceaux qui ne sont pas là pour faire pouet pouet bêtement, ce tournant pris est pour moi une véritable réussite pour les Russes.

Equilibrium – Erdentempel (2014) : La dernière pépite des Allemands, un condensé de tubes tous plus épiques les uns que les autres. Après cet album ils sont méchamment partis en live, au point que je les renie complètement. Prenez cet album comme le vestige d’un ancien temps, où tout était beau et plus authentique ! Lien vers la chronique.

Bornholm – Inexorable Defiance (2013) : Un album de black pagan bien couillu de la part des Hongrois, les compos sont bien ficelées , pas le temps de s’ennuyer, le riffing est au point et la voix envoie du rêve. Mention spéciale pour leur reprise de Bathory qui est excellente.

Antimateria – Valo Aikojen Takaa (2016) : Groupe découvert un peu par hasard en live au Steelfest 2019, je me suis empressé d’écouter à mon retour chez moi. C’est le seul album du groupe, mais il est tellement planant, cosmique et prenant qu’il a très vite grandi dans mon cœur.

Uada – Cult of a Dying Sun (2018) : Un album très énergique et catchy pondu par les Américains. Le fait que l’album soit plutôt incisif et rapide n’empêche nullement à l’émotion de transparaître, ce qui en fait un beau bébé.

Månegarm – Månegarm (2015) : Les Suédois sont constants dans la qualité de leurs albums, mais celui-ci est mon chouchou. Il y a certes des morceaux qui ressortent plus que les autres, mais le tout reste efficace, cohérent, bien pensé, et l’ensemble est très satisfaisant à écouter. Lien vers la chronique.

Nordheim – Rapthor (2017) : Les Québécois excellent dans le black metal, mais pas que ! Ceux-ci pondent un folk melodeath qui fait bouger fort la tête, c’est puissant et accrocheur. Et à côté de ça, ils conservent un côté très fun avec des thèmes bien barrés. Ils ont trouvé un parfait équilibre, et cet album file la patate.

Top 50

Herja

Massive Attack – Heligoland (2010) : Mezzanine restera à jamais le meilleur de Massive Attack pour moi mais Heligoland est sûrement mon second favori. Des ambiances douces-amères particulièrement réussies, qui m’emportent toujours autant et me rappellent désormais bon nombre de souvenirs.
 
Alcest – Écailles de lune (2010) : Est-il nécessaire de détailler une énième fois les qualités musicales de cet album ? Sans compter que le monde décrit par Neige va bien au-delà de cela ; et c’est pour moi sur Écailles de lune qu’il se déploie à la perfection. Un album synonyme de paix, de douceur et de beaucoup de joie.
 
Watain – Lawless darkness (2010) : L’un des premiers albums de BM que j’ai écouté après avoir découvert tous les classiques norvégiens. Un album important pour moi donc, et que je me repasse toujours avec autant de plaisir. Cette noirceur, ces riffs mélodiques et ces passages brutaux à l’énergie quasi punk, ces vocaux possédés… Du grand art.
 
Triptykon – Eparistera Daimones (2011) : Certains savent à quel point j’ai du mal à mettre des mots sur la musique de Tom G. Warrior tant j’ai un rapport personnel avec elle. Alors je ne vais pour cette fois me défiler avec lâcheté et simplement vous dire d’aller (ré)écouter cet album encore et encore.
 
Taake – Noregs Vaapen (2011) : Tout simplement l’album de Trve Black le plus inspiré sorti cette décennie et le meilleur album de Taake depuis la trilogie des débuts.
 
 
Enslaved – Riitiir (2012) : Je me rends compte que je n’ai toujours pas eu l’occasion de déclarer officiellement mon amour inconditionnel pour Enslaved sur ce webzine, alors allons-y. Bon, mes amis diront sûrement que je suis incapable d’être objective avec ce merveilleux groupe et cet album contient certains des morceaux les plus magiques que je connaisse, qui m’ont émue aux larmes plus d’une fois. Un album parfait pour un groupe qui l’est encore plus.
 
Mgla – With Hearts Towards None (2012) : J’ai peut-être découvert Mgla avec EIF mais WHTN est vite devenu mon favori. Mon ouverture vers une autre vision du Black Metal (de même qu’un autre album qui viendra un peu plus loin dans cette liste). L’art du nihilisme à son apogée, un album hautement introspectif et addictif dont les mélodies glaciales prennent possession de vous jusqu’aux tripes.
 
Darkthrone – The Underground Resistance (2013) : Comme mes goûts manquent terriblement d’originalité, Darkthrone fait partie de mes groupes favoris – toutes périodes confondues. Et il s’agit là du meilleur album récent (quoi que… Old Star…) avec des enchaînements de riffs mémorables, un réservoir d’énergie heavy/speed inépuisable… Leave no cross unterned !
 
Solstafir – Otta (2014) : Ah, Solsta. Le premier album d’eux que j’ai acheté, qui m’a tout comme le Enslaved fait couler la larmette de nombreuses fois. Des émotions particulières que seuls les Islandais sont capables de mettre en musique. Un bon album de transition aussi entre la première partie de carrière du groupe et le dernier album. Lien vers la chronique.
 
The Great Old Ones – Tekeli-Li (2014) : Mon ouverture vers tout ce qui est post-black et black atmo, mais aussi sur la scène française en général. Un des albums les plus réussis qu’il m’ait été donné d’écouter en terme d’immersion, et qui plus est, qui retranscrit parfaitement la manière dont j’imagine l’univers de Lovecraft. Incontournable.
 
Solefald – World Metal. Kosmopolis Sud (2015) : Je me suis contentée pendant longtemps de Red for Fire (malheureusement sorti trop tôt pour ce top), puis il n’y a pas si longtemps, j’ai ENFIN décidé d’écouter d’autres albums de Solefald. Grand bien m’en a pris. Ce petit dernier est un génie fou d’avant-gardisme et d’expérimentations tout en restant diablement accrocheur et addictif. What else ?
 
Iron Maiden – The Book Of Souls (2015) : Comme à peu près tout le monde, je connais et aime bien mieux le vieux Maiden, celui des 80s. A part peut-être cet album, sûrement parce qu’il a dû arriver à une période un peu charnière dans mes goûts musicaux, mais aussi par son côté prog poussé à l’extrême pour Maiden. Ça fait longtemps que je ne l’ai pas écouté en entier, mais les dix-huit minutes magistrales d’”Empire of the Clouds” ne me lâchent pas.
 
Dark Tranquillity – Atoma (2016) : Parce qu’il fallait inclure DT dans ce top et que Fiction est sorti trop tôt. Ceci dit, Atoma est clairement un de leurs meilleurs. Ce sens imparable de la mélodie qui fait mouche, ces refrains mémorables… DT en grande forme.
 
Harakiri For The Sky – III : Trauma (2016) : Un album qui m’a fortement accompagnée lui aussi, par ses mélodies, ses vocaux sur le fil, mais aussi et surtout ses paroles.
 
Hällas – Excerpts From A Future Past (2017) : Un voyage fantastique semblant tout droit sorti des 70s par une faille spatio-temporelle intergalactique. Le son des guitares, les claviers, la voix de ce chanteur qui m’a envoûtée et rendue addict dès la première écoute… Tout est parfait !
 
Darkenhöld – Memoria Sylvarum (2017) : Je voulais mettre un album de la scène médiévale française, et bon, pour être honnête, j’ai longtemps hésité entre celui-ci et le dernier Aorlhac. Mais Darkenhöld sont tout de même les maîtres pour créer des ambiances allant de pair avec les artworks, les lyrics, et plus généralement les thèmes des albums. C’est d’ailleurs peut-être bien celui-ci qui a éveillé mon intérêt pour cette scène florissante par chez nous.
 
Au Champ des Morts – Dans la joie (2017) : Découvert peu après sa sortie, Dans la joie fut une petite claque dès le départ et je n’ai cessé de l’écouter régulièrement depuis, en particulier sous la grisaille parisienne qu’il accompagne parfaitement.
 
A Forest of Stars – Grave Mounds and Grave Mistakes (2018) : J’aimais déjà beaucoup AFOS avant la sortie du petit dernier mais c’est lui qui les a fait passer dans mes groupes favoris. Le CD n’a quasiment pas quitté le lecteur pendant des mois après sa sortie et toutes ces écoutes m’ont fait un bien fou. Et c’est encore le cas dès que je m’y replonge. Si vous êtes passés à côté de ce joyau noir et halluciné il y a deux ans, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
 
Borknagar – True North (2019) : J’avais mis Winter Thrice, et j’ai changé pour True North au dernier moment. Tout simplement parce que c’est cet album qui m’accompagne sans cesse durant les derniers merveilleux mois que je vis. Une bande-son parfaite alors que je m’installe à l’étranger, vole vers de nouveaux horizons ; je n’aurai pu espérer meilleur compagnon. Alors pour marquer le coup, il mérite sa place ici. Lien vers la chronique.
 

Nidhögg

Dark Tranquillity – We Are The Void (2010) : Probablement pas l’album le plus accessible des Suédois, mais un véritable bijou de death mélodique qui se révèle au fil des écoutes.
 
Ereb Altor – Ulfven (2017) : Les Suédois à leur top niveau, un parfait amalgame entre leurs débuts doom et le black viking pratiqué maintenant, des compos “Bathoryesques” !
 
Amorphis – Under The Red Cloud (2015) : Amorphis parvient avec ce 12ème album à surpasser les attentes, et prouver qu’ils sont encore les maîtres de leur art, une réussite incontestable !
 
Insomnium – Shadows Of The Dying Sun (2014) : Quel album, toujours une énorme baffe à chaque écoute, des compos magnifiques, des textes à l’avenant, et un sens incroyable de la mélancolie.
 
Månegarm – Legions Of The North (2013) : Cet album reste un classique pour moi, des blasts, de la voix claire, du growl bien caverneux, des parties acoustiques, tout est excellent !
 
Cut Up – Wherever They May Rot (2017) : Une bon gros tabassage en règle, du death à la suédoise, virulent et sans compromis, une véritable révélation en ce qui me concerne que ce groupe monté par les ex-Vomitory.
 
Caladan Brood – Echoes Of Battle (2013) : Les dignes héritiers de Summoning, du black atmosphérique de très haute qualité, je vous recommande la version vinyle qui contient d’ailleurs deux reprises de Summoning, un véritable chef-d’oeuvre.
 
Ayreon – The Source (2017) : Ah Arjen Lucassen, ce génie ! Encore une fois un album fabuleux, des guests incroyables et des mélodies inoubliables.
 
Sojourner – The Shadowed Road (2018) : 2ème essai et 2ème franche réussite pour ce jeune groupe plein d’avenir, dont on attend le 3ème album avec impatience début 2020 ! Lien vers la chronique.
 
Lantlôs – .neon (2010) : Le post-black metal avait trouvé son maître en 2010 avec cet album, avec Neige au chant, et des chansons tout bonnement sublimes.
 
Devin Townsend Project – Transcendence (2016) : Autre génie, Devin Townsend, que je ne pouvais pas ignorer tellement sa contribution à la musique est phénoménale, cet album ne déroge pas à la règle et constitue l’épitaphe du Devin Townsend Project.
 
Carach Angren – This Is No Fairytale (2015) : Une plongée dans l’horreur du monde de Carach Angren, pionnier de “l’horror metal”, un album fantastique à l’image de la discographie des Néerlandais.
 
Vermilia – Kätkyt (2018) : Alors là je l’avoue sans problème, Vermilia a été un gros coup de cœur pour moi, et son 1er album, je ne m’en lasse toujours pas. Je ne le qualifierai pas de chef-d’oeuvre mais il s’en faut de peu. Vivement le Cernunnos pour la découvrir en live !
 
Anathema – Weather Systems (2012) : Ah tiens, un album qui n’est pas du metal ! Et oui, mais tellement génial, les Anglais ont tapé juste, énormément d’émotion sur cet album, des voix qui se complètent magnifiquement, je ne pouvais pas passer à côté.
 
Sylvaine – Atoms Aligned, Coming Undone (2018) : 3ème album pour la belle Kathrine Shepard, sublime réussite, qui vient confirmer le potentiel de la demoiselle, vivement la suite !
 
Myrkur – Mareridt (2017) : Oui, je sais qu’elle est décriée sur la scène metal, mais pour moi cet album est tout bonnement excellent, particulièrement la version vinyle avec ses bonus tracks folk qui me plaisent énormément. Moins metal que le 1er album sans doute, mais tout de même très bon. Lien vers la chronique.
 
Swallow The Sun – Songs From The North (2015) : Le tour de force du groupe, non pas un simple, non pas un double, mais un triple album ! Les rois du doom mélodique, une oeuvre fabuleuse.
 
Regarde Les Hommes Tomber – Exile (2013) : Un album incroyable d’intensité et de violence, hâte également d’entendre la suite !
 
Moonsorrow – Jumalten Aika (2016) : Après 7 ans de silence, Moonsorrow revenait et nous apportait une pierre de plus à l’édifice de sa magnifique discographie, incontournable !
 
Wintersun – The Forest Seasons (2017) : On a beau dire, Jari est un troll, Jari prend son temps, mais Jari sort des albums excellents, alors on lui pardonne.
 

Fée Verte

Alcest – Écailles de lune (26 mars 2010) : Mon album préféré des pionniers du blackgaze français. Tellement de poésie, d’onirisme dans cet album, et quelle pochette magnifique ! Si ce n’est déjà fait, je vous conseille également d’écouter le deuxième album de son double féminin, Wistful de Sylvaine, qui a bien failli se retrouver dans ce top !
 
Gallowbraid – Ashen Eidolon (17 septembre 2010) : J’ai eu de la chance, car à un an près, je n’aurais pas pu mettre cet album qui est pour moi un classique du black folklorique. Rien que le titre “Stone of Remembrance” me donne les larmes aux yeux tant je le trouve parfait !
 
Omnium Gatherum – New World Shadows (4 février 2011) : Un des premiers albums de death mélodique que j’ai écoutés, et sans doute mon préféré de la formation finlandaise. Le titre d’ouverture “Everfields” est une pure merveille à la fois progressive et mélancolique, et qui m’a valu mes premières larmes versées sur un morceau de metal, et ça, ça ne s’oublie pas ! Et surtout, surtout … il y a mon guitariste de metal préféré dans le groupe, Monsieur Markus Vanhala !
 
Rotting Christ – Kata ton daimona eaytoy (1er mars 2013) : Je me souviens encore de la claque prise en live au Rock Your Brain en 2015. Certes, les Grecs ont tendance à se relâcher niveau inspiration dans les derniers albums, mais celui-ci est de loin mon préféré, mon petit classique du black gothique, avec de chouettes ambiances ritualistes et chamaniques et des mélodies super accrocheuses !
 
Finntroll – Blodsvept (22 mars 2013) : J’avais mis tellement de temps à réussir à apprécier Finntroll, et voilà que le dernier album de nos chers trolls finlandais se retrouve dans mon top ! Certes, Blodsvept n’est pas leur meilleur, mais c’est avec celui-là que je les ai finalement aimés. J’aime tout de même beaucoup l’univers steampunk qu’ils ont développé, notamment dans le clip du morceau “Häxbrygd”, que j’écoute et visionne avec toujours autant de plaisir ! En tout cas, le groupe se fait désirer, j’attends le prochain album avec impatience !
 
Dark Tranquillity – Construct (27 mai 2013) : Objectivement, pas le meilleur album des Suédois (même si j’aime énormément chacun d’eux), mais c’est avec celui-là que je les ai découverts, et qui a fait que DT est maintenant mon groupe de metal préféré. Mention spéciale au morceau “Uniformity” qui m’a énormément marquée.
 
Hypocras – The Seed of Wrath (10 juin 2013) : J’ai longuement hésité avec l’album Echoes of the Wolf de Fenrir sorti l’année précédente, car ce sont les deux premiers groupes que j’ai vus en live, au Triel Open Air en 2014, alors forcément, ça donne comme un gros coup de nostalgie ! J’ai finalement opté pour le premier (et dernier) album de la formation suisse de folk/death metal, pour laquelle j’ai eu pendant très longtemps beaucoup d’admiration. Dommage que The Seed of Wrath n’ait jamais eu de digne successeur, mais qui sait, peut-être que mes folkeux bien-aimés feront un retour fracassant un jour ? Lien vers la chronique.
 
Behemoth – The Satanist (3 février 2014) : L’époque où on ne surnommait pas encore les Polonais “Behemolle”… Là encore, peut-être pas leur meilleur album, mais c’est avec celui-ci que je les ai découverts, et il faut bien reconnaître qu’il fout quand même bien la patate (surtout avec le titre “Ora Pro Nobis Lucifer”) !
 
Grimner – Blodshymner (21 mars 2014) : Il fallait bien que je les case, mes petits chouchous suédois ! Je me souviens encore de la claque prise en écoutant pour la première fois leur premier album, pendant que j’allais courir dans la forêt à côté de chez moi, y a pas à dire, ça encourageait bien ! Lien vers la chronique.
 
Insomnium – Shadows of the Dying Sun (25 avril 2014) : Là aussi, il fallait bien s’attendre à voir cet album apparaître dans mon top. Parce que c’est avec Omnium Gatherum et Dark Tranquillity l’un des premiers groupes de death mélodique que j’ai écoutés, et cet album est selon moi tellement parfait que j’étais obligée de le citer !
 
Lustre – Blossom (24 avril 2015) : Peut-être bien THE album qui m’a fait découvrir le black atmosphérique, quasiment en même temps que l’EP Descent de Veldes sorti quelques mois après. Les mélodies peuvent paraître redondantes de prime abord, mais on s’en fiche, qu’est ce que c’est beau ! Lien vers la chronique.
 
Munarheim – Stolzes wesen mensch (11 mai 2015) : Ooooooh Munarheim, quelle surprise !… Ou pas ! J’aime profondément chacun de leurs albums, mais comme je les ai découverts avec celui-ci, c’est celui que j’ai retenu. Un savant mélange de black, de symphonique, d’atmosphérique, de folk et d’épique, bref, tout ce que j’aime ! Lien vers la chronique.
 
Amorphis – Under the Red Cloud (4 septembre 2015) : Autant je ne suis pas particulièrement fan des premiers albums du groupe (pas taper), autant cet album, je l’adore, aucun morceau n’est à jeter (surtout “The Four Wise Ones”) !
 
Sojourner – Empires of Ash (25 mai 2016) : Vous aviez vraiment cru que j’allais oublier ce groupe ? Bande de coquinous que vous êtes ! Un mélange de Summoning et de Gallowbraid mais en mille fois mieux (j’aime me faire des ennemis), que demander de plus ? “Homeward” (petits cœurs partout). Lien vers la chronique.
 
Moonsorrow – Jumalten aika (1er avril 2016) : Parce que mon album préféré des Finlandais est sorti avant 2010 (Verisäkeet ou Voimasta ja kunniasta ? 3,2, 1… FIGHT !), mais il va s’en dire que celui-ci est excellent aussi et fait bien bouger la tête comme il faut ! Lien vers la chronique.
 
Harakiri for the Sky – III : Trauma (22 juillet 2016) : Même si je préfère revenir maintenant aux premiers albums des Autrichiens, j’ai énormément écouté celui-ci, rien que pour le morceau “Thanatos” dont je ne me lasse toujours pas. HFTS reste malgré tout l’un de mes groupes préférés de post-black. Coïncidence (ou pas ?), un autre excellent album de post-black était sorti le même jour, à savoir Home des Canadiens Numenorean.
 
Wedrujacy Wiatr – O turniach, jeziorach i nocnych szlakach (31 octobre 2016) : Un album qui a été propulsé sur le podium de mes albums de black/folk atmosphérique préférés dès la première écoute. Un groupe au très fort potentiel, j’attends le troisième album avec beaucoup d’impatience ! Lien vers la chronique.
 
Wormwood – Ghostlands : Wounds from a Bleeding Earth (3 mars 2017) : J’ai adoré Nattarvet, mais c’est avec cet album que j’ai découvert ce groupe très prometteur de la scène black/folk suédoise. Selon moi un album qui aurait pu être le digne successeur de Legions of the North de Månegarm, sorti quatre ans plus tôt. J’apprécie beaucoup les touches rock à la Dire Straits qui apportent selon moi une originalité certaine au groupe ! Et c’est surtout très varié ! Lien vers la chronique.
 
Atlas Pain – What the Oak Left (10 mars 2017) : Le premier album de mes chouchous italiens, du bon folk metal épique à la Equilibrium (avant que ces derniers ne se barrent en cacahuète, je précise…) qui donne une bonne bouffée d’énergie et de joie de vivre ! Lien vers la chronique.
 
God Is An Astronaut – Epitaph (27 avril 2018) : Il fallait bien que j’en parle, de mes Irlandais chéris. LE groupe qui m’a initiée au post-rock. Mon album préféré, All Is Violent, All Is Bright, est sorti trop tôt pour pouvoir le caser dans le top, mais Epitaph est excellent aussi, bien que déconcertant car plus sombre que ces prédécesseurs, mais il ne demande qu’à se laisser apprivoiser ! Lien vers la chronique.

HeronMaiden

Mike Oldfield – Return to Ommadawn (2017) : Fan de Mike Oldfield depuis mes 12 ans, c’est un réel plaisir de voir ce compositeur retourner aux sources : 2 longues pistes pour un seul album, comme dans les années 70, full instru ou presque, et bourré de clins d’œil au 3ème album sorti par Mike Oldfield en 1975, Ommadawn. Plus de 40 ans après, le style n’a pas changé, la patte du multi-instrumentaliste est bien présente ! #retourverslefutur
 
Kambrium – Shadowpath (2011) : Kambrium, petit groupe de melodeath à tendance épique débute sa carrière avec un album qui se démarque du style, ultra mélodique, au mixage propre et aux airs entraînants qui ont su marquer mon esprit. J’ai découvert le groupe en 2015, et depuis, l’évolution est continuelle et notoire : après avoir signé chez Noise Art Records en 2016 (ils étaient préalablement chez Massacre Records) on peut les apercevoir sur des festivals metal allemands d’une certaine notoriété tels que le Summer Breeze (2019) ou encore le Rockharz (2016, 2020). Ce premier album reste néanmoins mon préféré, même si désormais, le groupe considère qu’il appartient définitivement au passé et n’en joue plus aucun morceau sur scène…
 
Uada – Devoid of Light (2016) : Ce groupe américain, formé en 2014, nous offre 2 ans après un album aux riffs black metal acérés qui n’a pas manqué de marquer mon esprit. Si certains disent qu’ils ne sont qu’une pâle copie des Polonais de Mgla, je continue personnellement de penser qu’ils sont bien différents et ont su se démarquer très rapidement par de nombreuses dates de tournée à travers le monde et par une ambiance qui leur est propre.
 
MéS – Through the eyes of… (2018) : Jeune formation française qui a fait ses débuts en 2014, la sortie de son premier album 4 ans après est synonyme de mûrissement pour le groupe à mes yeux. Des sonorités proches de Megadeth ou encore Iced Earth, c’est un quatuor qui s’annonce très prometteur. A leur actif, plusieurs dates de tournée dans l’est de la France, notamment un passage au Rising Fest en 2019. Un album dont la chronique est à retrouver ici.
 
Corvus Corax – Gimlie (2013) : S’il y a un groupe qu’on ne présente plus dans le milieu folk-metal-médiéval, il s’agit bien entendu de Corvus Corax. Cet album m’a particulièrement marquée pour sa diversité dans les airs et les paroles : vieux norrois, latin, langues scandinaves… tout y passe !
 
Othalan – Po Krańce Gór (2017) : Sorti tout droit des méandres de Youtube, j’ai découvert ce groupe un peu trop tardivement. Une chose est certaine, la scène folk polonaise n’a pas fini de me surprendre. Pour les fans d’Arkona (RU), Dalriada, Grai, Żywiołak et Percival, cet album est un sans faute à mes yeux : on y revient toujours lorsqu’on ne sait plus quoi écouter !!!
 
Arkona – Slovo (2011) : Aux origines de ma passion pour le folk metal se trouvent 2 albums d’Arkona (RU) : Goi Rode Goi et Slovo. Sûrement parce que ce sont les plus mélodiques que le groupe ait sortis. A moins que ça ne soit parce que c’est avec ces albums que j’ai découvert le groupe ?
 
Eluveitie – Evocation II : Pantheon (2017) : Un autre groupe qui est aux origines de mon attrait pour le folk-metal, Eluveitie. Fortement inspiré des airs traditionnels bretons, avec Fabienne Erni au chant, cet album est entièrement acoustique. Son petit-frère, Evocation I : The Arcane Dominion sorti 8 ans avant, m’avait fait découvrir le groupe. Je le recommande aux néophytes du folk-metal qui sont encore frileux avec le growl…
 
Orden Ogan – To the End (2012) : Un album que je recommanderais pour se lancer dans le heavy metal… Potentiellement parce qu’il m’a permis de faire la paix avec cette branche. Des riffs mélodiques, du synthé pour la cohésion, un chant qui n’est pas suraigu et qui est souvent accompagné de chœurs, et un hymne puissant avec “The things we believe in”.
 
Faun – Von den Elben (2013) : Majestueux, propre, appliqué. 3 mots pour définir cet album qui marque à mes yeux un tournant dans la carrière de Faun avant un changement de style et de line-up. Une collaboration avec Santiano et Subway to Sally sont également à retrouver dessus. Pour les néophytes de la scène folk allemande, il s’agit de 2 autres groupes d’une notoriété assez conséquente sur le territoire.

Taarna

Le Toxicomélomane

Alestorm – Sunset on the Golden Age (2014) : L’album le plus abouti de la discographie du groupe que j’écoute depuis mon adolescence. Etant donné que je traversais à ce moment-là une période difficile, cet album fut pour moi un sacré exutoire !
 
Whispered – Metsutan Songs of the Void (2016) : Trop méconnu, ce groupe finlandais propose un curieux mélange entre le death mélodique et la musique folklorique japonaise qui fonctionne à merveille ! Rien n’est à jeter dans cette merveille auditive !
 
Turisas – Stand Up and Fight (2011) : Difficile de ne mettre aucun album de mon groupe préféré, si ce n’est celui que les fans adulent en majorité. Grosses orchestrations, beaux chœurs, superbes mélodies… Un classique intemporel !
 
Battle Beast – Steel (2011) : Le côté kitsch un peu 80’s à son paroxysme pour ce groupe finlandais de heavy metal à la carrière fulgurante. Avant que leur guitariste Anton ne le quitte en 2015…
 
Arch Enemy – War Eternal (2014) : C’est tout simplement le premier album de death mélodique que j’ai écouté. Une grosse découverte et surtout une révélation, puisque je découvrais avec étonnement comment on peut allier la mélodie avec l’agressivité.
 
Powerwolf – The Sacrament of Sin (2018) : Tous les albums de Powerwolf sont bons, mais le fait de changer un peu de production a été très bénéfique pour celui-ci ! Un vrai coup de cœur.
 
Ignea – The Sign of Faith (2017) : tout jeune groupe ukrainien très prometteur, ce premier jet reste pour ma part un des meilleurs à ce jour. Mêler les orchestrations avec des rythmiques orientales, sur un style très moderne, c’est peu courant… A suivre de près !
 
Beyond the Black – Songs of Love and Death (2015) : Un étonnant premier album qui se révèle très abouti ! Pour un groupe formé qu’un an auparavant, c’est pour ainsi dire un coup de maître !
 
Sabaton – Carolus Rex (2012) : Parler de leur histoire, de leur Suède, est peut-être ce qui a bouleversé la donne pour Sabaton. Albums remplis de chansons cultes… Donc album culte !
 
Amaranthe – The Nexus (2013) : Mélanger la pop avec le power metal est très osé et risqué, mais seul Amaranthe sait le faire avec brio ! Cet album en est l’exemple !
 
Xandria – Sacrificium (2014) : Premier album avec la chanteuse néerlandaise Dianne Van Giersbergen, cela semblait être un nouveau départ pour la formation metal gothique/symphonique. Difficile de me lasser.
 
Ex Deo – Caligvla (2012) : L’album sur lequel je headbangue le plus (parmi tant d’autres). Une rythmique militaire, d’énormes riffs…Et surtout une puissance mélodique extraordinaire ! Ave Roma !
 
The Hu – The Gereg (2019) : Le buzz sur Internet a plutôt bien payé pour ce groupe mongol unique ! Gros coup de cœur de l’année dernière, je ne pouvais pas ne pas l’inclure dans mon Top décennie !
 
Apocalypse Orchestra – The End is Nigh (2017) : Une des meilleures découvertes de 2017. Un doom puissant, mélodique, mélancolique et teinté de sonorités médiévales… Une finesse dans l’écriture tout à fait remarquable !
 
Atlas Pain – What the Oak Left (2017) : Une bouffée d’oxygène dans ce monde de brutes. Que ça fait du bien de s’échapper dans le monde fantasy/steampunk d’Atlas Pain, dont il est toujours très difficile pour moi d’en sortir.
 
Distoriam – Chapter I : Vinlanders (2015) : Découvert par hasard sur Youtube en 2015, le groupe canadien de folk metal épique se révèle être d’un excellent niveau tant au niveau de la production que de l’écriture ! Cela sent bon les voyages de viking vers la terre promise canadienne.
 
Amon Amarth – Jomsviking (2016) : Même remarque que pour Turisas. Peut-être pas aussi parfait que pourrait être Twilight of the Thunder God, mais ce concept album s’est révélé au final très bon ! On se laisse facilement prendre par l’histoire de ce garçon enrôlé dans la caste légendaire des Jomsvikings.
 
Fleshgod Apocalypse – Agony (2011) : Une grosse baffe comme j’en ai rarement reçue. A défaut d’être un brin répétitif, cet album des Italiens est tout simplement « grandioso » ! Mélodie et rythmes ultra rapides font très bon ménage !
 
Gorgon – Titanomachy (2016) : Très prometteur, j’ai eu la chance d’avoir pu participer à la campagne de financement participatif et recevoir l’album en avant-première. Un des plus « titanesques » de leur discographie qui se révélera être malheureusement un des derniers avant un deuxième album et une séparation en 2019. A réécouter bien sûr. 
 
Stribog – U Okovima Vječnosti (2010) : Le genre de groupe très méconnu, mais facilement trouvable sur Youtube ! Le premier album des Croates reste un des premiers albums de pagan metal que j’ai écoutés et peut-être un des meilleurs.

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