Cernunnos Pagan Fest X – Jour 2

AKTARUM

La deuxième journée du Cernunnos commence en beauté pour ma part, puisque je m’apprête à revoir Aktarum, plus de deux ans après les avoir découverts au Ragnard Rock Festival. Je me rappelle de ce concert qui avait été l’un des plus délirants auxquels j’ai assisté, et j’espérais que l’ambiance serait aussi bonne aujourd’hui. Aaaaaah, comment oublier cette partie de « peluche-ball » et le premier wall-of-death de mon existence !

Le public s’est montré plus sage qu’au Ragnard Rock Festival, mais bon, tout est relatif, car on s’est quand même bien défoulé ! En même temps, la musique d’Aktarum se prête vraiment à la fête, grâce à un keyboard entraînant et épique et qui fait inévitablement penser à Finntroll. D’ailleurs, que ce soit à travers les pseudonymes des musiciens ou les titres des morceaux, les trolls sont préparés à toutes les sauces ! Ce fut d’ailleurs l’occasion pour moi de voir le groupe avec son nouveau bassiste « Trollointain » (jeu de mots /20).

Fée Verte


Il fait bien plus froid que dans une cave belge mais ce n’est pas ce qui aura compromis le show digne de Game of Trolls (Album 2014)! Les 5 Trolls sont arrivés, en pleine forme et ont fait vibrer les pierres de la Ferme du Buisson. Aktarum nous livre, en plus de leur joie de trolls, des morceaux assez épiques et inoubliables, allant du troll metal au Rock n Troll, dans la droite lignée de Finntroll mais en version belge ! Avec un jeu puissant et une setlist qui déménage, les Belges ont su conquérir le cœur du public à coup de black folk pagan qui fait bouger, même un dimanche à 13 heures. Les notes du clavier nous emportent dans la puissance de la basse, dans la folie de la guitare ou dans les profondeurs obscures de la voix. Le quintet ne se départit ni de son énergie, ni de sa bonne humeur tout le long de la courte demi-heure sur scène. Avec deux albums à leur actif, et des dates de concert en prévision, nul doute que Trolls will be back !

Brynhildr

SETLIST : Game of trolls / Rock n troll / Light up the torshes / Gang of trolls / Troll in the Forest / Trollforever / Imperial Troll / Enchanted Forest

DARKENHOLD

Déjà plus de deux ans se sont écoulés depuis la première et dernière fois que j’ai vu Darkenhöld au Beermageddon. De l’eau a coulé sous les ponts depuis, car le groupe a sorti l’an dernier son quatrième album Memoria Sylvarum, et le Cernunnos est l’occasion parfaite de découvrir des nouveaux morceaux en live.

Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, celui-ci a pour particularité de jouer un black metal dont les thématiques tournent essentiellement autour de l’univers médiéval et sylvestre. De plus, les paroles sont essentiellement en français, et malgré le chant black, on parvient à cerner la subtilité des textes. En revanche, j’avais oublié à quel point la musique du groupe pouvait être épique, et ce, grâce aux samples de claviers qui renforçaient cet aspect.

Fée Verte


Le Dimanche fut à la fois plus rempli et plus éprouvant. Et je vais
encore parler de façon totalement subjective. Plus j’écris et plus j’ai
l’impression que l’objectivité n’est pas mon fort. Et ça commence assez tôt, dès 13H50 pour être exact, avec le passage de Darkenhöld. Encore et toujours du Black. (Et c’est loin d’être fini !) Les Sudistes signés chez les Acteurs de l’Ombre ont pris d’assaut la grande scène avec leur Black Metal mélodique emprunt de médiéval, de fantastique et chanté en français et en anglais. Et c’est le premier concert que j’apprécie vraiment qui se passe sur la grande scène. Le son était super, les lights aussi, rien à redire. Pour le coup j’avais découvert le groupe par le biais de leur label, et avais assez hâte
de les connaître davantage. Et déjà, étant moi-même guitariste, j’ai été étonné d’emblée en voyant leur matériel. Guitares Gibson, têtes Marshall, dont une Plexi quand même (sans compter la jolie basse Vigier) ! Je n’ai pas été habitué à ce genre d’instruments et surtout d’amplis pour du Black, c’était plutôt singulier ! Le chanteur portait bien le show, avait une très bonne présence, ça bougeait, on ne s’ennuyait pas à regarder. Des frissons me parcourent le corps lors des moments avec des chœurs ou des passages plus mélodiques et lourds, comme sur « La Chevauchée des Esprits de Jadis ». Leur set de 45 minutes m’a laissé un peu sur ma faim, j’aurais bien aimé en voir un peu plus.

Lailoken

SETLIST : Feodus Obitus (intro) / Le Souffle des Vieilles Pierres / Clameur des Falaises / Chevauchée des Esprits de Jadis / Mesnie Hellequin / Sous la Voute de Chênes / March of the Sylvan Beasts / Ruines Scellées en la Vieille Forêt / Glorious Horns

CELTACHOR

Celtachor est une découverte totale pour moi dans la mesure où je n’ai jamais écouté un morceau du groupe. Une découverte, oui, mais une révélation, pas tellement …
Pourtant, sur le papier, tous les éléments étaient réunis pour que la musique du groupe me plaise. Déjà, quand on me dit « Irlande », mon petit cœur s’emballe. Et si en plus c’est un groupe de black/folk celtique, alors là c’est encore mieux. Les instruments traditionnels utilisés sur scène faisaient également plaisir à voir, à savoir le violon, le tin whistle, et surtout, surtout, une harpe ! J’étais aussi agréablement surprise que le groupe compte une batteuse en son sein. Enfin, ce qui était tout autant appréciable, c’est que le chanteur se donnait à fond pour mettre l’ambiance, et il prenait le temps de raconter l’histoire de chaque morceau. Par contre avec son accent irlandais, ‘fallait s’accrocher.

Avec tous ces points positifs que je viens d’évoquer, ne me demandez pas pourquoi je n’ai dans ce cas pas accroché à la musique du groupe, moi-même, je me pose encore la question. En revanche, je me mets à la place des fans qui devaient être vraiment heureux de revoir le groupe, car celui-ci n’était pas revenu en France depuis le Cernunnos de 2014. D’autant plus que de nombreux morceaux extraits de leur prochain album (dont la sortie est prévue pour le 20 avril) ont été interprétés en exclusivité.

Fée Verte

SETLIST : Sons of Morna / King of Tara / Tailtin / Tuiren / Eochaid / Dubh, Dun Agus Liath / Uaithne : Harp

BOISSON DIVINE

Le Cernunnos c’est comme à l’école : il y a des groupes que tu écoutes sagement, quand soudain, la sonnette qui donne le signal pour partir en récréation retentit. Et là, c’est le moment pour aller voir Boisson Divine !

Je n’ai encore jamais vu le groupe en live, et avec tout le monde qui attendait devant l’Abreuvoir, j’ai bien cru pendant un moment que je n’allais pas pouvoir assister au concert. Finalement, il a suffi d’un peu de persévérance, et j’ai réussi tant bien que mal à me faufiler dans la salle et admirer le spectacle sur les estrades tout au fond. Au moins, j’avais une vue imprenable sur la fosse, et c’était bien beau(f) à voir !

Comme pour Hantaoma, l’intérêt majeur de Boisson Divine, ce sont les paroles chantées essentiellement en gascon. Mais ce que je retiendrai surtout de ce concert, c’est le sens de l’humour du chanteur avec des punchlines qui devraient être inscrites au patrimoine de l’UNESCO. Et comment oublier ce moment complètement « what the fuck » où le bohaire (sonneur de cornemuse) s’est ramené avec sa poupée gonflable sur « Quin braguèr » ! Enfin, je salue la performance d’Ayla qui jouait de deux flabutas (flûte à bec gasconne) en même temps ! Pour finir le concert, le groupe a fait une reprise pour le moins étonnante de « Breaking the Law » de Judas Priest.

Fée Verte

SETLIST : Que me’n tornarèi / Los tilholèrs / Lo cant deu pastor / Rondèu / Qué de melhor / Quin braguèr / Hilhóta de delà l’aiga / Coquin de pire / Los invisibles / Dauna de Brassempoi / Breaking the law (Judas Priest cover)

BELENOS

Au tour deeeeee Belenos, maintenant. Le groupe n’est plus à
présenter, ce n’est même pas son premier passage au Cernunnos. C’était avec Saor ma plus grosse attente du dimanche. J’avais déjà eu la chance de voir le groupe en live quelques mois auparavant, lors du Samaïn Fest en novembre dernier (première date live avec ce line-up, accueillant Sven à la guitare). Je suis devenu fan instantanément. Le groupe de Loïc Cellier fait dans le Pagan Black Metal, avec un sacré côté Breizhou. En témoigne le superbe titre présent dans la setlist: « Armorika », et son introduction reprenant le Bro Gozh, l’hymne breton (issu du dernier album, Kornog). Les chants clairs, les chœurs, le crâne de cerf devant le micro, le brut du Black Metal, tout respire le paganisme et le celtisme. Les thèmes sont guerriers, la
foule de spectateurs rentre en communion avec le groupe, l’atmosphère se veut fédératrice, la magie opère. Très clairement un de mes meilleurs moments à Noisiel. « Morfondu », « Chants de Bataille » (inédit, jamais joué sur scène), les titres issus de différents albums s’enchaînent, sans jamais s’essouffler, l’heure de concert passe incroyablement vite. Seul bémol, quelques badauds n’ayant apparemment pas compris les codes du Black Metal, et se croient devant Steel Panther. Exhibage de poitrine et saltimbanquisme primaire, dommage, car ce genre de pitreries nuisait à envoûtement qu’exerçaient sur nous les musiciens vers la fin du concert. À la
rigueur j’aurais plus compris sur Boisson Divine, leur musique est très festive, ça aurait plus collé. Mais pas sur Belenos, qui se veut bien plus sérieux, plus solennel. Bref, c’était mon moment râleur.

Lailoken

SETLIST : Intro I / Morfondu / Gorsedd / Terre de Brume / Intro II / Armorika / Par Belenos / Chant de Bataille / Intro III / Fureur Celtique / L’Enfer Froid / L’Antre Noir

DORNENREICH

Un peu de calme dans ce monde de brutes, cela ne peut pas faire de mal ! J’avais déjà vu Dornenreich l’an dernier au Ragnarök Festival, mais pour un set metal. Pour le Cernunnos, le duo composé du chanteur/guitariste Eviga et du violoniste Inve va nous offrir un concert qui promet d’être inoubliable, et pour cause, la prestation sera entièrement acoustique ! De plus, le groupe était attendu au tournant par les fans, car celui-ci n’était plus revenu en France depuis 2010 !

Côté mise en scène, c’est on ne peut plus minimaliste, mais bon, avec un set acoustique il ne faut pas non plus s’attendre à ce que ça bouge dans tous les sens. Eviga est assis sur un tabouret avec sa guitare sèche, tandis qu’Inve se tient debout à côté de lui et délivre ses mélodies mélancoliques au violon. Sa virtuosité ne cessera jamais de m’impressionner.

La plupart du temps, Eviga murmure ses paroles, mais nous réveille parfois soudainement avec sa voix black, et également en frappant le sol du pied (au moins ça fait une batterie bon marché …). Il règne un silence de plomb dans la salle de l’Abreuvoir. Personne ne bouge, personne ne parle. Nous nous laissons tous bercer par le néo-folk envoûtant de Dornenreich, et attendons à chaque fois la fin du morceau pour témoigner notre admiration pour ce groupe à la sensibilité rare. Malheureusement, le concert finit bien trop vite, mais un nouvel album arrive bientôt, ce qui devrait être le signe d’une autre tournée.

Fée Verte

SETLIST : Intro / Freitanz / Meer / L.M. / Dem Wind Goboren / Drang / Zauberzeichen / Erst Deine Träne Löscht Den Brand / Enter / Jagd

METSATOLL

Je n’avais pas revu Metsatoll depuis leur tournée avec Arkona, c’est à dire en 2015. Et je dois dire que le groupe m’avait laissé un souvenir plutôt positif. En voyant leur nom sur l’affiche du Cernunnos Pagan fest, j’ai littéralement sauté de joie : ce groupe tourne peu en France. Et pour cause, ils sont estoniens. Leur musique est marquée par leur culture, les instruments traditionnels utilisés sont totalement atypiques, et c’est ce qui fait la particularité du groupe, en plus du chant clair mais très grave et pas spécialement facile d’accès à la première écoute. Comme il y a de ça 3 ans, c’est l’instrumentaliste-flûtiste-sonneur qui motive la foule et crée la bonne ambiance festive. Il joue de et avec ses instruments : tel un Jimi Hendrix de la cornemuse, il va même jusqu’à en jouer les mains dans le dos. Il explique et traduit un peu les thèmes des chansons qui sont toutes sans exception dans leur langue natale. Bref, une excellente prestation, un groupe unique en son genre qui a su, je pense, ravir tous les amateurs de folk.

HeronMaiden

SAOR

La venue de Saor à Paris sera pour bon nombre des festivaliers LE moment fort du Cernunnos. Je faisais bien entendu partie de ces personnes qui attendaient le groupe avec impatience, d’autant plus qu’il s’agit du tout premier groupe de black/folk atmosphérique que j’ai écouté.

Le groupe entre sur scène sur « Saorsa », court morceau instrumental extrait du premier album Roots, avant d’enchaîner justement avec le morceau du même nom. Et là, c’est l’euphorie. C’est épique, c’est violent, c’est beau … Eeeeeeeet zut, le guitariste de droite a un problème technique, et certaines personnes dans le public se plaignent de ne pas entendre suffisamment le violon. Fort heureusement, ces deux soucis seront vite réglés, et le concert reprendra de plus belle.

Le groupe poursuit le concert avec un morceau extrait de son troisième album Guardians, « Tears of a Nation ». En live, le tin whistle apporte autant, si ce n’est plus d’intensité que sur album au projet d’Andy Marshall. Je ne pouvais m’empêcher d’imaginer les superbes paysages d’Ecosse à l’écoute de cet instrument, et j’en avais presque les larmes aux yeux tant j’affectionne ce pays (oui je sais, je suis sensible et je l’assume !).

Pour la fin du set, Saor jouera deux morceaux extraits du deuxième album Aura. Je suis un peu déçue que mon titre préféré, « Children of the Mist », n’ait pas été joué, mais les morceaux interprétés auront suffi à procurer sur ma personne les émotions que j’espérais tant ressentir.


Enfin vient… Saor. Un groupe de… Black Metal. Mais pas seulement !
Un groupe d’Atmospheric Celtic Black Metal, ça change un peu au moins ! Saor était clairement mon attente du week-end. Après avoir annoncé en 2016 lors du Warhorns Festival en Angleterre que cette date était leur dernière, j’ai été réellement déçu. J’ai d’ailleurs toujours une capture d’écran de cette annonce, pour me souvenir que même lorsque tout va bien, un coup bas peut toujours survenir. Heureusement, ils n’ont pas tenu, et Andy  Marshall a décidé de renouer avec la scène, pour mon… notre plus grand bonheur ! Première date au Cernunnos avec ce line-up, avec notamment
l’arrivée du violoniste Lambert dans la formation live. Et quel moment cette heure passée en leur compagnie a été. Une heure à voyager dans les Highlands, une heure à partager une idée de liberté et de nature typiquement écossaise, une heure où mon côté celte (proéminent, Breton oblige) fut transpercé de fierté. Des morceaux des trois albums furent entendus, ceci dit, le moment où le morceau « Tears of a Nation » arrive à sa deuxième partie fut pour moi le moment-clef de leur show. C’est à ce moment-là je pense, que
tout le monde dans la salle a compris là où le groupe voulait en venir avec leur musique. Le thème d’abord joué presque en acoustique, en majeur, comme on pourrait l’entendre dans une rue d’Edimbourg à la cornemuse, puis mineurisé ensuite, arrangé avec une batterie plus lourde, rend ce thème très solennel, notamment par son authenticité, mais surtout par sa profondeur. Peut-être y suis-je plus sensible à cause de ma vie passée en Bretagne et à mon amour des pays celtes, toujours est-il que j’attendais depuis longtemps de pouvoir apprécier Saor sur scène, et j’y suis enfin arrivé. Merci au Cernunnos, et merci à Valkyries !

Lailoken

SETLIST : Saorsa / Roots / Tears of a Nation / Aura / Pillars of the Earth

SAOR PATROL

Enfin pour finir sur cette journée dominicale, une bonne surprise: Saor Patrol (non non je me suis pas trompé, c’est pas les mêmes, y’a Patrol dans le nom regarde bien). Je trouve personnellement ce groupe assez plat à écouter sur CD, et je comprends maintenant que c’est parce que c’est quelque chose à vivre en live. Les Écossais (encore), dans la tradition des musiques de rues, ont une sacrée présence scénique et occupent parfaitement la grande scène. Leur musique consiste à mélanger une cornemuse et une guitare électrique avec beaucoup de percussions. Une grande partie de ce qu’ils font pourraient d’ailleurs rappeler ce que font les Ramoneurs de Menhir, en bien plus impressionnant, et avec de meilleurs arrangements. (forcément, avec trois percussionnistes, on peut se permettre plus de choses qu’avec une boite à rythmes) Pour comprendre ce que je veux dire par là, il n’y a qu’à écouter leur morceau « Three Wee Gigs », c’est assez explicite. Le groupe
est mené par deux musiciens barbus, le sonneur et le « chef »
percussionniste. Un vrai contact est établi. des blagues sont échangées, ils prennent le temps entre les morceaux pour discuter un peu, les Écossais de Saor Patrol sont très communicatifs, et ça fait du bien de voir un groupe autant interagir avec son public. Le concert se termine sur un morceau chanté par le groupe entier, instruments rangés, réunis sur le devant de la scène. Une bonne surprise, un bon moment.

Mais nous voici déjà à la fin de ces deux jours de festival, et il est
maintenant temps de reprendre la route. C’est donc ainsi que se termine ce report sur la dixième édition du Cernunnos Pagan Fest. Beaucoup de choses ont été dites, et pour en remettre une couche, j’ai vraiment passé un excellent moment à Noisiel. Soyez-en sûrs, je reviendrai l’année prochaine. Encore un grand merci à Valkyries et au Cernunnos pour m’avoir permis de participer à cet événement. Le Pagan, le Folk et le Black ont encore de bien belles années devant
eux !

Lailoken

LES + / – DU FESTIVAL :

Fée Verte :

Les + : La programmation (surtout Saor et Waldgeflüster) / Le son généralement correct / La salle de la Halle / Le prix des consommations raisonnable

Les – : La salle de l’Abreuvoir / Trop peu de temps de battement entre chaque groupe / Vestiaires à l’intérieur alors qu’il faut ressortir pour accéder aux salles de concert

Au nom de l’équipe de Valkyries, je tiens à présenter mes excuses si certains groupes n’ont pas été traités, nous avons fait le maximum pour assister à autant de concerts que possible.

Brynhildr :

Les + : Organisation (aménagement) du festival et des salles / Stands de nourriture et boissons approvisionnés et variés / Communication

Les – : Fermeture des salles pendant les balances / Pas de point de chauffage contrairement à l’an passé

Axoria :

Les + : Espace dédi et merch bien spacieux / Espace où il y a les stands de vente avec des objets tradi, cd rares etc…

Les – : Trop peu de temps de battement entre chaque groupe

Lailoken :

Les + : Les salles. Tout le temps de la place, même lors des têtes d’affiche / La programmation groupes/animations. Autant de super groupes pour une jauge de public aussi basse, ça fait plaisir. Et même si je n’ai pu assister aux animations, c’est super d’en proposer, je pense que beaucoup de gens ont apprécié / L’organisation. Pas de retards, pas d’annulations, et des gens fort sympathiques.

Les – : Le son/la lumière. Souvent des gros cafouillages. Projecteur braqué sur le public non-stop pendant Ereb Altor, mixage son aléatoire sur pas mal de groupes, etc… / Prix de la bière ambrée. 8€ la pinte, c’est trop cher / La localisation. J’aime pas Paris, j’aime pas la banlieue parisienne.

HeronMaiden :

Les + :  Réarrangement de l’espace merch/marché médiéval / Programme plus riche d’infos / Stand boisson + nourriture originaux / Espace dédicaces / La météo !! 😉

Les – :  Les files d’attente dans le froid sans possibilité de s’asseoir pour accéder aux scènes / Très peu de bancs/tables pour se poser… Sauf à l’espace restauration! / La qualité sonore devant la grande scène pour certains groupes laisse à désirer… / L‘impossibilité de suivre les animations ET les concerts parce que ça se chevauche / La qualité de l’affiche : encore TROP de groupes français et locaux

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